En mai 1989, Robert Lazar déclare lors d'une émission produite par George Knapp de KLAS TV, la chaîne de CBS déservant Las Vegas et le Nevada, avoir travaillé sur le système de propulsion d'un appareil extraterrestre pour le compte de l'Armée Américaine durant 5 mois à partir de décembre 1986.
Il déclare que le gouvernement américain y conduisait un programme d'examen de 9 soucoupes volantes et tentait d'adapter la technologie extraterrestre à ses propres fins. Lazar fait ce témoignage public dans l'ombre : il est présenté sous le pseudonyme de Dennis, avec une voix modifiée, lui et sa femme prétendant avoir fait l'objet de menaces de mort. Dans les jours qui suivent son intervention, de nouvelles menaces de mort se seraient succédées et des coups de feu auraient été tirés sur sa voiture.
Le 10 novembre 1989, Lazar tombe le masque, à nouveau sur KLAS-TV. A cette occasion, il donna plus de détails encore, décrivant notamment le site ultra-secret "S4", situé à l'intérieur de la Zone 51, près du lac Papoose, au site de Groomlake, lieu où les engins extraterrestres étaient remisés. Il précisa les fonctions qui avaient été les siennes sur le site : au sein d'une équipe de 22 ingénieurs, il avait été engagé pour tenter de comprendre le système de propulsion des ovnis, comme décrit dans le document projet Galileo.
Voici son intervew ci-dessous:
Robert Lazar dit Bob Lazar:
"la base se trouve contre le flan d'une montagne, une petite montagne, une grosse colline, il y a 9 portes de hangar, et ces portes ne sont aucunement des portes métalliques brillant dans le désert, elles sont peintes ou vaporiser d'une texture sableuse, et je peux vous l'assurer, c'est afin d'éviter que des satelittes ne photographient l'installation, car elles se fondent ainsi dans la montagne. D'après ce que j'ai pu voir c'était plutôt efficace.
La première fois que j'ai conduis dans le secteur toutes les portes de hangars étaient fermées, mais à une faible distance, on s'apercevait qu'il s'agissait de portes, qu'elles pouvaient s'ouvrir, nous avons contourner le flan gauche de l'intallation, et là se trouvait l'entrée principale. Nous avons passé plusieurs portes et le contrôle de sécurité, puis nous avons pénétré dans ce qui ressemblait dans un batiment gouvernemental typique.
Mon travail fondamental consistait à reproduire des systèemes d'énergie de propulsion, et je décidais de commencer en m'attaquant à l'énergie, c'est à dire aux réacteurs qui faisaient fonctionner l'engin. Pour ce qui est de l'autorisation dont j'étais munis, connue comme autorisation majestic, nous n'étions que 22 personnes à la posséder à S4, et à travailler sur l'appareil.
Lorsque j'y étais amené en bus, nous contournions généralement l'installation jusquà son flan gauche, et nous rentrions par la porte qui se trouvait là, et pour la première fois, l'une des portes du hangar, celle tout au bout était ouverte. le bus s'approcha, s'arrêta, et visible comme le nez au milieu de la figure, dans le hangar, occupant presque tout l'espace du hangar se trouvait la soucoupe. On aurait quelquechose tout droit sorti d'un film de sciences fiction, et on s'est arrêté, on et sortit, et pour la première fois on m'a laissé franchir cette porte, et tandis que je marchais, je pensais: "Et bien voilà le nouvel appareil d'avant garde sur lequel nous avons travaillé. Et voilà pourquoi des gens continuent à voir des soucoupes volantes. Ils s'agissaient des nôtres, nous les mettions simplement à l'épreuve probablement durant toutes ces années."
Et comme je marchais à côté de l'engin, je posais ma main dessus, je me dis que c'était du métal parce c'était froid, donc je pensais qu'il s'agissait d'une espèce de métal, et de fait il y avait une ouverture car le panneau d'accès était tiré, et j'ai vu un petit peu en arrière qu'un drapeau américain y figuré, alors là j'ai su catégoriquement que c'était quelque chose que nous avions fabriquée.
On m'a permis à une occasion de rentrer dans l'engin afin de voir les dispositions de ses systèmes, afin de vérifier si ceux-ci étaient bien configurés, et j'étais bien sûr accompagné à bord de l'engin, il était à l'évidence concu pour être piloté par quelque chose de plus petit qu'un être humain normal, on était vraiment à l'étroit là-dedans, il y avait un niveau inférieur une partie amovible du plancher se pliait et s'ouvrait de sorte que je pouvais passer ma tête et le haut de mon torse là-dessous avec une torche électrique, afin de voir comment les amplificateurs de gravités se trouveaient sans dessus-dessous, d'observer la disposition
Tout le but du projet consisté à semparer de cet engin, en particulier celui sur lequel je travaillais, et de tester et reproduire ce système avec des matériaux terrestres.