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 Vague d'OVNI Belge

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thealienboy
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thealienboy


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Date d'inscription : 29/08/2011

Vague d'OVNI Belge  Empty
MessageSujet: Vague d'OVNI Belge    Vague d'OVNI Belge  Icon_minitimeVen 9 Sep - 19:53

Bonjour a tous !

Un important nombre d'OVNI a passé ces année la ! Voici les faits.

Le 4 avril 1990 vers 22 heures près de Verviers, deux témoins, Mlle S. et son ami Monsieur P.M. ont vu dans le ciel trois feux blancs et ronds, formant un triangle aux bords indistincts dans la nuit, avec un point lumineux au centre du triangle, l'ensemble restant parfaitement immobile.
Sortie comme chaque soir pour emmener son chien faire un besoin naturel, Mlle S. (18 ans, étudiante) a vu la première les étranges lumières, à environ 150 m d'altitude. Surprise, elle court chercher son fiancé resté à la maison.
M. P. (20 ans à l'époque, tourneur-ajusteur dans une entreprise locale) prend alors son appareil photo de qualité (Reflex Praktica BX20, zoom de 55/200 mm) chargé d'un rouleau de diapositives de grain fin et de haute sensibilité (Kodak Ektachrome, 200 ASA), le cale contre un mur, et a pris soigneusement deux clichés, dont un seul s'est révélé réussi, malgré le soin apporté (pause B de 1 seconde, appui sur l'arête d'un mur). La chose n'était pas vraiment silencieuse, émettant un léger et inhabituel sifflement. Sitôt photographié l'ovni est parti, assez lentement, "pointe" en avant. La scène n'a duré que cinq minutes.
Sur les deux diapos une seule, la première, montre quelque chose. Et encore, l'image ne ressemble pas vraiment à ce que le photographe a vu de ses yeux. Par exemple, là où il a vu des lumières blanches de forme ronde, l'image montre des arcs de cercle, des tâches en forme de banane. Quant à la deuxième diapo, elle est toute noire et atterrit dans la poubelle.






Ce cas fameux est décrit et analysé en profondeur dans l'article

"Analyse et implications physiques de deux photos de la vague belge"

par A. MEESSEN, Professeur à l'U.C.L., paru dans le N°100 de la revue Inforespace en 2000, et publié sur Internet en 2001.
Dans son article le Pr Meessen arrive à ce résultat essentiel : la différence entre ce qui a été enregistré sur la pellicule photographique et ce qui a été perçu visuellement s'explique très bien en admettant qu'il s'agissait de lumière ultraviolette. Il a été démontré expérimentalement que cette lumière a pu traverser l'objectif et être enregistré sur la diapositive. La présence de lumière UV devant ce qui fut décrit comme étant des phares énormes et le fait qu'il y eut une association avec les mouvements de l'ovni ouvre un nouveau champ d'investigation. Il lie la propulsion des ovnis et les faisceaux de « lumière solide » à la physique des plasmas. C'est cela qui importe, en fin de compte, en conjonction avec toute une série d'autres indices, dont le déchiffrement n'est pas immédiat, mais important.

Le 5 mai 1997, la SOBEPS a organisé une " journée d'étude consacrée à la photographie dite de Petit-Rechain ". Elle eut lieu à l'Ecole Royale Militaire, pour donner l'occasion à tous les scientifiques qui avaient étudié cette photo d'en discuter entre eux. Ont participé: Marc Acheroy, Michel Bougard, Léon Brenig, Lucien Clerebaut, Patrick Ferryn, François Louange, Monsieur P. M. qui a pris la photo, Auguste Meessen, Emil Schweicher et Isabelle Stengers.
P. Magain avait été invité par P. Ferryn et il avait accepté d'y présenter son expérience de trucage et ses conclusions, mais juste quelques jours avant le 5 mai, il s'est désisté. Dès que le Pr Meessen en a eu connaissance, il a contacté d'autres membres de l'Institut d'astrophysique de l'Université de Liège, signataires des fameux communiqués de presse, mais personne n'a voulu venir.


Les expertises

Cette photo a par ailleurs été longuement étudiée par des experts photographes et scientifiques, qui tous concluent à son étrangeté et à son caractère inexplicable :
P. Ferryn, expert en analyse photo de la SOBEPS en 1990
le Pr Marc Acheroy de l'Ecole Royale Militaire, Bruxelles, a effectué une analyse par ordinateur très poussée en 1990 (in VOB.1. p. 416-418 et VOB.2. p. 234-240)
Richard F. Haines, (Palo Alto, Californie) spécialiste américain de la psychologie de la perception en 1993
D. Soumeryn-Schmit, chef du service photographique de l'Institut Royal du Patrimoine Artistique à Bruxelles en 1993
François Louange (Fleximage, Arcueil) a effectué une analyse par ordinateur en 1993
A. Marion (CNRS, Institut d'Optique d'Orsay) a effectué une contre-analyse par ordinateur en 2002.

Cette dernière analyse fut présentée le 1er octobre 2003 au Dr François Louange au siège de Fleximage à Arcueil. En voici le contenu, tiré du VSD hors série N°6 nov 2003, page 37-39, et qui confirme les résultats des études précédentes :

La célèbre diapositive de Petit-Rechain a été analysée dans les années 1990 par plusieurs spécialistes de l'imagerie scientifique,en particulier Marc Acheroy (Ecole royale militaire, Bruxelles),François Louange (société Fleximage, Paris) et Richard F.Haines (Los Altos, Californie); le 15 octobre 2001, Patrick Ferryn, de la SOBEPS (Société belge d'étude des phénomènes spatiaux), nous confia cette diapositive afin que nous l'analysions à notre tour à l'aide des dernières techniques de traitement numérique des images utilisées à l'Institut d'optique théorique et appliquée d'Orsay. Le but de sa démarche était de comparer nos résultats avec ceux de nos prédécesseurs, de mettre éventuellement en évidence des informations supplémentaires et, si possible, de tirer des conclusions quant à l'authenticité du document et à la nature de l'objet photographié.



Observation d'ensemble de la diapositive

Dans une première étape, nous avons procédé à l'observation visuelle du film, après l'avoir extrait de son cache, puis à sa numérisation par transparence à l'aide d'un scanner à plat Agfa Duoscan T1200. Nos constatations recoupent celles de nos prédécesseurs :
- Le cadre de la photo est parfaitement net et sans dédoublement, même si on l'observe avec un contraste fortement augmenté; ceci exclut une manipulation du type double ou multiple exposition lors de la prise de vue.
- Il paraît difficile d'envisager un trucage fait à l'aide d'une maquette ou de tout autre dispositif analogue. Cela sera confirmé par les traitements numériques (voir plus loin).
- On ne peut davantage imaginer un montage vidéo ou l'utilisation d'images de synthèse : les caractéristiques propres à de telles images n'apparaissent pas sur la diapositive, même en augmentant considérablement les contrastes.
Bien qu'il ne faille rien exclure, il semble donc très probable que la photo analysée soit bien celle d'un objet matériel vu sur un fond de ciel, objet ou engin d'origine néanmoins non identifiée jusqu'à ce jour.

Numérisation du cliché
Dans une seconde étape, nous avons effectué une numérisation précise de la diapositive à l'aide d'un scanner de films 35 mm Canon offrant une résolution optique de 2 720 points/pouce, ce qui équivaut à une taille de pixel de moins de 10 micromètres. Cette dimension est bien supérieure à celle du grain du film (de l'ordre du micromètre), mais largement inférieure à celle des plus petits détails significatifs contenus dans l'image, lesquels ne sont jamais inférieurs à 20 micromètres.
En dehors des quatre taches très lumineuses, l'image est presque noire et très peu contrastée. Il était donc indispensable d'avoir, dès la numérisation, un rapport signal à bruit aussi bon que possible afin de saisir les plus faibles nuances, même dans les parties les plus sombres du cliché. Dans ce ,but, nous avons utilisé une technique consistant à faire la moyenne entre de multiples numérisations successives :
En numérisant n fois la diapositive dans les mêmes conditions, on diminue la partie du bruit d'image due à l'électronique de mesure par le facteur (1/sqrt(n)?) .
En numérisant la diapositive en position normale, puis tournée de 90°,180° et 270°, il est possible de moyenner le bruit fixe dû à la structure du CCD (non uniformité de réponse des photosites de la barrette). Pour cela, il faut évidemment recaler les images au pixel près à l'aide d'un logiciel approprié afin qu'elles se superposent parfaitement.
On peut également diminuer de façon sensible l'influence du bruit de quantification (les pixels sont codés sur 8 bits, c'est-à-dire 256 niveaux, par couleur) en faisant la moyenne des numérisations du film en mode film positif et en mode film négatif (après complémentation des valeurs à 255), car les courbes de réponse du scanner ne sont pas les mêmes dans les deux modes.
Ayant ainsi obtenu une image moyenne finale avec ses trois composantes rouge, verte et bleue, nous n'avons conservé qu'une zone carrée d'environ 2 centimètres de côté entourant l'objet, ce carré comportant 2 430 x 2 430 pixels. Enfin, compte tenu de la taille des plus petits détails visibles (environ 20 micromètres, ainsi qu'il a été dit plus haut), nous avons dimensionné cette zone sur 1 024 x 1 024 pixels en interpolant entre les pixels (fig. 1), ceci afin de ne pas manipuler de trop grandes images et ne pas augmenter inutilement les temps de calcul.

Résultats des traitements numériques
1. Une accentuation des contrastes permet de faire apparaître le contour de l'objet (fig. 2), en particulier sur la composante bleue (fig. 3). Ce contour a la forme d'un triangle isocèle ABC quasiment rectangle en A, complété du côté de sa base par un quadrilatère BCED très proche d'un rectangle. Compte tenu de l'angle de prise de vue, il est probable que les angles A, D et E soient des angles droits et que l'objet soit horizontal. Sur l'objet, très sombre, se détachent quatre taches fortement lumineuses que, pour simplifier, nous appellerons « feux ». Trois de ces feux sont proches des extrémités A, D et E de l'objet, tandis que le quatrième est situé à peu près au milieu de la hauteur AH abaissée du sommet A sur la base DE (fig. 4). En l'absence de repère, il n'est pas possible d'estimer la taille de l'engin ni sa distance.
Certaines régions du contour sont quasiment nettes alors que d'autres sont floues, indiquant un déplacement relatif de l'objet et du film. L'explication qui paraît la plus vraisemblable est que l'objet a effectué un mouvement pendant le temps d'exposition, l'appareil photo étant resté fixe, mais on ne peut exclure un léger bougé de l'appareil. Les deux positions extrêmes sont représentées sur la figure 5.
La forme du flou observé peut s'expliquer par une rotation de l'objet dans l'espace autour d'un axe passant par un point 0 situé pratiquement sur la droite BC et tel que BO = 0,25 BC (fig. 5). L'angle de la rotation est de 5° environ. Nous avons pu reconstituer cet effet de flou par simulation (fig. 6).
La même rotation permet également de retrouver le mouvement d'ensemble subi par les quatre feux, supposés circulaires sur la simulation. Toutefois, les trois feux extérieurs présentent des structures colorées complexes et des déformations que cette rotation globale n'explique pas: les images obtenues impliquent nécessairement des mouvements indépendants pour chacun de ces feux par rapport à l'engin.
2. Divers traitements colorés permettent de faire ressortir un halo lumineux autour de l'objet ainsi que des traînées lumineuses entre les feux, particulièrement entre le feu central et ceux des extrémités (fig. 7). Mais ces traitements, en vraies comme en fausses couleurs, ne permettent pas de tirer de conclusion quant à la nature du halo ni de préciser ce que sont les feux: systèmes d'éclairage et/ou de signalisation ou dispositifs de sustentation et/ou de propulsion de l'engin ?
3. La décomposition de l'image en luminance, teinte et saturation fait apparaître des informations plus riches, particulièrement sur la composante de saturation. Ces informations sont notablement améliorées par des filtrages de fréquences et des compositions colorées. Les traitements nous ont permis de mettre en évidence des directions privilégiées, surtout dans le halo qui entoure l'objet (fig. 8, 9, 10, 11). Ces directions correspondent aux orientations de petits grains lumineux qui, sur l'image, forment une sorte de mouvement tournant autour de l'engin, un peu à la manière de flocons de neige pris dans un vent tourbillonnant. On peut aussi faire l'analogie avec des grains de limaille de fer qui s'orientent selon les lignes du champ magnétique d'un aimant. S'agit-il de perturbations électro-magnétiques, d'un processus d'ionisation de l'air ? En l'absence d'autres éléments, la nature de ce phénomène est difficile à préciser, d'autant plus qu'il n'est pratiquement pas décelable sur les composantes rouge, verte et bleue de l'image. Ces nouvelles observations sont d'autant plus intéressantes qu'elles semblent susceptibles de conforter certaines théories, comme celle des ondes de plasma ioniques, thèse avancée par Auguste Meessen, professeur émérite à l'université de Louvain, et concernant le système de propulsion de l'engin (propulsion de type magnétoplasmadynamique ).
Quoi qu'il en soit, l'existence de ces «lignes de force » est un argument de poids contre la thèse d'un trucage, lequel serait particulièrement perfectionné. De plus, on ne voit pas très bien pour quelle raison un faussaire se serait donné la peine d'imaginer et de réaliser un phénomène aussi complexe, d'autant plus qu'il n'est pas perceptible sans un traitement sophistiqué du cliché.
Conclusion
Les traitements numériques que nous avons effectués à Orsay sur la diapositive de Petit-Rechain ont confirmé l'essentiel des observations déjà faites. Ils ont également apporté de nouveaux résultats surprenants au sujet du halo lumineux qui entoure l'objet, mettant en évidence un processus d'apparence tourbillonnaire. La nature du phénomène physique correspondant pourrait, selon certains auteurs, être liée au système de propulsion particulier de l'engin. Ce point mériterait d'être approfondi.
Les sceptiques
Les principaux arguments des sceptiques quant à ce cas sont de deux ordres :

La photo est "impossible" ou en contradiction avec les dires des témoins. L'objet est trop net (en mode "pause B" de 1 s il aurait du y avoir un bougé de l'opérateur) ; l'objet sur la diapo est beaucoup trop gros, notamment ses feux qui auraient du avoir dans le ciel la taille de la pleine lune, alors que les témoins les ont décrits comme de simples points lumineux.
La photo est truquée. Il est très facile de reproduire avec des moyens simples une photo similaire à celle de Petit Rechain. Par exemple celle réalisée par l'astrophysicien Belge M. Magain, ou celle faite par le sceptique Wim Van Utrecht.

Ces arguments ont notamment été exposés lors d'une émission de la RTBF le lundi 4 mars 2002, dont une version (partiale) est donnée sur cette page du sceptique Leurquin.

1. La photo impossible

L'astrophysicien Belge M. Magain a prétendu qu'il était impossible de réaliser une photo nette d'un tel objet la nuit avec le temps de pose utilisé par le témoin. C'est en réalité faux, il suffit de tenter soi même l'expérience dans les mêmes conditions pour s'en convaincre. A ce propos il convient de mentionner une anecdote révélatrice d'une certaine attitude partiale des médias. Extrait du VSD hors série N°6 de novembre 2003 :

Ce que Patrick Ferryn, responsable de l'analyse photographique à la SOBEPS, a été empêché de dire lors d'un débat à la télévision belge RTBF.

Oui, on peut prendre ce genre de photo !

Lors du « non-débat » à la RTBF, je savais que M. Magain (Institut d'astrophysique de l'université de Liège) n'allait pas hésiter à souligner une impossibilité technique: "La diapositive est suspecte du fait de l'impossibilité de réaliser un document net avec le temps de pose utilisé par le témoin.". J'en avais averti Isabelle Franchimont qui m'avait promis formellement que j'aurais précisément l'occasion de répondre à cet argument. C'est la seule raison pour laquelle j'ai finalement accepté de me rendre sur le plateau.
Comme je m'y attendais, Magain a effectivement formulé son objection, mais à l'instant précis où j'allais lui répondre, le son du micro que j'avais en main a été coupé! Puis l'animateur est passé à un autre chapitre. Je me suis alors levé, décidé à me rendre au centre du plateau pour avoir à nouveau la parole et répondre à Magain, mais des techniciens et Isabelle Franchimont m'en ont aussitôt empêché, me garantissant que si je le faisais, ce serait de toute manière coupé lors de la diffusion! Je n'ai donc pas eu la possibilité de contredire Pierre Magain.
Le procédé est peu élégant car le public ne retiendra que l'avis d'un scientifique de haut niveau. Si j'avais pu répondre comme on me l'avait assuré, cela n'aurait pris que quelques secondes: je me serais limité à dire que Pierre Magain est libre de croire qu'il est impossible de réaliser une photo nette dans de telles conditions, mais que ce n'est pas exact! Je l'ai d'ailleurs démontré en réalisant plusieurs clichés - ni plus nets, ni moins nets - d'une maquette photographiee dans des circonstances identiques (voir «Vague d'ovnis sur la Belgique», vol. 1) et ce, même à main levée! Je ne prétends évidement pas que c'est la meilleure manière de réussir une photo. Le témoin, lui, à pris la précaution de caler son objectif contre l'arête d'un mur pour éviter, autant que faire se peut, de bouger. Dommage qu'il me fût impossible d'en parler...
2. La photo truquée

Wim Van Utrecht (Source : Article de Wim Van Utrecht sur le site de la SOBEPS) affirme que les témoins ont pris une configuration classique de feux d'avions pour un OVNI et que le photographe, ou quelqu'un de son entourage a réalisé peu après un trucage photo pour concocter une spectaculaire observation d'OVNI. A l'appui de sa thèse M. Utrecht ne peut apporter qu'un petit bricolage en carton, réalisé en octobre 1992, censé reproduire le trucage utilisé (un triangle de papier noir a été collé sur un morceau de carton bleu, pourvu de petites perforations et placé devant quelques lampes).
De même, l'astrophysicien Pierre Magain (encore lui), et un de ses collègues (M. Rémy), réalisa en janvier 1994 avec un matériel identique et quelques bouts de carton un cliché qu'il présenta triomphalement lors de l'émission de la RTBF du 4 mars 2002. Voici le "faux" en question, tiré de cette page du site de M. Leurquin, déjà citée plus haut :


Hélas pour les "sceptiques", ce genre de faux grossier a été réfuté par le professeur Marc Acheroy (Ecole Royale Militaire de Bruxelles) en 2003 (Source : VSD Hors série N°6 Novembre 2003, page 39) :
L'analyse des trois composantes de couleur (rouge, vert, bleu) montre que la dimension des feux lumineux est la même dans les trois composantes pour le photomontage, mais va par contre en croissant fortement en fonction de la longueur d'onde dans la photographie de petit-Rechain. Ceci peut s'expliquer facilement par le procédé utilisé pour obtenir le cliché de Van Utrecht (masque perforé de trous placé entre l'appareil photo et la source lumineuse).
Dans le photomontage, le mouvement des lumières est le même que celui de la surface triangulaire. Dans la diapositive de Petit-Rechain, il est différent.
Dans le cliché, au sein d'une même lumière, les "cordons de lumière" ont tous la même direction, ce n'est pas le cas dans la diapositive de Petit-Rechain.
Conclusion : ce n'est pas en utilisant la méthode du faux de W. van Utrecht que la diapositive originale a été formée. On rappellera cependant les commentaires suivants :
- Il a été impossible de mettre en évidence que la diapositive originale puisse être un faux.
- Même si on parvenait à réaliser un document en tout point semblable à la diapositive de Petit-Rechain, cela ne signifierait pas pour autant qu'elle est un faux.
- L'hypothèse selon laquelle la diapositive de Petit-Rechain serait un faux ne peut être rejetée jusqu'à présent, et ne le sera sans doute jamais, il s'agit donc de rester très vigilant.
- Si la diapositive de Petit-Rechain est un document authentique, rien ne prouve qu'il s'agisse d'extraterrestres.
Bref, les faux "simplistes" de MM. Utrecht et Magain ne tiennent pas la route. Ce que M. Utrecht reconnait d'ailleurs lui même dans son article cité ci-dessus (Article de Wim Van Utrecht sur le site de la SOBEPS).
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